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La hausse du doll ar canadien
Nouvelles « CSA » Numéro 73 — Édition Hiver 2009
Dans le dernier numéro de Nouvelles « CSA », nous avons demandé l’aide de nos membres de la Saskatchewan afin de convaincre leur gouvernement de préciser la durée que les résidants de la Saskatchewan peuvent passer hors de la province sans mettre en péril leur protection en matière de santé. Les règles étaient floues, semaient la confusion et faisaient en sorte qu’il était difficile pour les Saskatchewanais de bien comprendre qu’elles étaient les exigences. Au cours des 15 derniers mois, j’ai rencontré à deux occasions le ministre de la Santé de la Saskatchewan, Don McMorris, afin de voir si nous pouvions régler ce problème. Nous avions aussi inséré dans le numéro d’automne de Nouvelles « CSA » envoyé à nos membres de la Saskatchewan une carte postale qu’ils pouvaient mettre à la poste pour demander au ministre de prendre des mesures pour régler ce dossier très important. Grâce à ces efforts, le ministre McMorris nous a assurés (par écrit) que le ministère ne comptabilisera pas les séjours effectués à l’extérieur de la province durant la période estivale, afin de permettre aux « snowbirds » de visiter des membres de leur famille et des amis vivant ailleurs qu’en Saskatchewan sans craindre de perdre leur protection en matière de santé.
Le ministre a également apporté des précisions sur ce qui constitue et ne constitue pas une « absence temporaire » de la Saskatchewan. Dans les faits, les Saskatchewanais voyageant à l’extérieur peuvent se prévaloir d’une absence temporaire de 12 mois prévue dans la loi. Cette disposition permet aux personnes de quitter le Canada sans perdre leur statut de résident. Une fois la période de 12 mois échue, les personnes devront être physiquement présentes en Saskatchewan pour six mois et elles pourront ensuite être de nouveau admissibles à une autre période d’absence temporaire. Nous espérons que ces renseignements permettront à nos membres de la Saskatchewan de voyager librement sans craindre de perdre leur protection en matière de santé. Je veux remercier tous nos membres de la Saskatchewan qui ont pris le temps de remplir la carte postale, de l’envoyer et qui, par cette action, ont su se faire entendre du gouvernement de la province. Je remercie le ministre McMorris d’avoir résolu le problème. Finalement, je remercie notre directeur pour le Centre du Canada et résidant de la Saskatchewan, John Foster, pour tout le travail effectué à préparer ces rencontres avec le ministre. Sans ses efforts, rien de tout cela n’aurait été possible.
En octobre, John Foster et moi-même sommes allés à Winnipeg rencontrer la ministre de Vie Saine Manitoba, Kerri Irvin-Ross. Nous avons discuté de réduire la paperasserie que doivent remplir nos membres du Manitoba lorsqu’ils obtiennent une provision de médicaments d’ordonnance suffisante pour leurs séjours dans le Sud. Nous avons aussi demandé à la ministre d’expliquer pourquoi les Manitobains doivent obtenir un certificat du gouvernement provincial chaque fois qu’ils quittent la province pour plus de trois mois. Je me demande combien de Manitobains connaissent cette exigence. Selon le gouvernement, il s’agit de l’un des moyens de déterminer si une personne est admissible ou non à la protection en matière de santé. Nous voulons la suppression de cette exigence et nous travaillons avec le gouvernement dans ce but. Je vous tiendrai au courant de nos progrès dans ce dossier. Pour conclure, je dois mentionner que nous avons également eu une rencontre fructueuse avec le chef de l’opposition officielle du Manitoba, Hugh McFadyen, au cours de laquelle nous avons discuté de ces mêmes enjeux.
Ma épouse Alice et moi-même sommes récemment rentrés de la dernière série des « Snowbird Lifestyle Presentations ». Cette année, nous avons entrepris ces présentations en Ontario avec des arrêts à Kingston, à Nepean, à St. Catharines et à Orillia. À partir de là, nous nous sommes dirigés vers l’Ouest canadien avec des arrêts à Regina, en Saskatchewan, à Calgary, en Alberta, pour conclure notre série tout à l’Ouest à Vernon et à Abbotsford, en Colombie-Britannique. Ces soirées ont de nouveau offert un excellent divertissement dans des salles de premier ordre. Non seulement ces présentations nous donnent-elles l’occasion de vous rencontrer et de vous divertir, vous, c’est-à-dire, nos membres, mais elles sont aussi l’occasion pour nous d’inscrire vos amis et vos voisins et de les accueillir dans la famille des « snowbirds ». Je suis heureux de vous informer que, comparativement à la série de l’année dernière, nous avons constaté une augmentation notable du nombre de nouveaux membres et du nombre de membres qui ont renouvelé leur adhésion sur place. Nous avons également remarqué une augmentation des dons versés dans le Fonds d’action spécial de l’ACS, qui sert exclusivement à financer la défense de nos intérêts auprès des gouvernements (comme nos rencontres effectuées en Saskatchewan et au Manitoba mentionnées précédemment).
L’une des raisons pour lesquelles nous réussissons si souvent à rencontrer les dirigeants gouvernementaux est notre forte présence dans les médias. Lorsqu’il s’agit de défendre et d’améliorer les droits des voyageurs canadiens, nous sommes la source vers laquelle les médias se tournent pour obtenir des renseignements et des analyses. Bref, nous avons de la crédibilité auprès des médias provinciaux et nationaux et c’est en plein le genre de chose qui retient l’attention de nos élus. Cette crédibilité n’est pas le fruit du hasard. Notre priorité est de toujours avoir une longueur d’avance dans les dossiers qui sont importants pour les voyageurs canadiens. Nous sommes également proactifs en renseignant les médias sur la nature de ces dossiers et sur la manière dont ils évoluent sans cesse. Pour ce faire, nous diffusons des communiqués de presse et nous appelons les journalistes lorsque nous repérons des sujets de préoccupation. À l’heure actuelle, dans le cycle concurrentiel de diffusion d’information 24 heures sur 24, attendre simplement que les médias viennent nous voir pour obtenir notre réaction n’est plus suffisant. Nous devons constamment leur rappeler les sujets qui nous préoccupent et pourquoi les Canadiens les jugent importants. C’est ainsi qu’en novembre, notre directeur général Lawrence Barker et moi-même sommes allés discuter de certaines activités actuelles de l’ACS sur les ondes du téléjournal national de soirée de CBC, The National. Ce reportage a été vu d’un bout à l’autre du pays et il s’agit d’un excellent exemple de la crédibilité que nous avons obtenu à force de travailler sans relâche depuis les 17 dernières années.
Parmi d’autres rencontres prévues avec des politiciens, citons notre toute première réunion avec le nouvel ambassadeur américain au Canada, David Jacobson, et avec le premier ministre récemment élu en Nouvelle-Écosse, Darrell Dexter.
Cette année, le « Snowbird Extravaganza » aura lieu à Lakeland, en Floride, les 26 et 27 janvier 2010. Notre « Winter Texans’ Snowbird Extravaganza » aura lieu à l’île South Padre au Texas, les 2 et 3 février 2010, et notre « Canadian Snowbird Celebration » aura lieu à Mesa, en Arizona, les 9 et 10 février 2010. Mon épouse Alice et moi-même espérons vous rencontrer à l’un ou l’autre de ces événements et, si vous ne pouvez vous joindre à nous, vous pouvez participer plus tard aux Réunions d’information d’hiver. Rappelez-vous que l’accès à ces événements est toujours gratuit; par conséquent, n’hésitez pas à y amener vos amis et des membres de votre famille.
Alice et moi vous souhaitons un très joyeux Noël, une heureuse période des Fêtes ainsi qu’une nouvelle année placée sous le signe de la réussite et de la santé. Nous serons ravis de vous revoir en 2010!